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région ile de france - Page 8

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    Parmi les informations ayant marquées la semaine dernière :

    -La mobilisation de vanvéens pour la collecte de la banque alimentaire aurait permis de récolter 6,3 tonnes des denrées alimentaires et de produits de toutes sortes, durant le week-end des 26-27 Novembre.

    -L’Assemblée générale du Stade de Vanves n’aurait pas attirer beaucoup de monde, vendredi dernier, 25 personnes, surtout les dirigeants des sections et les membres du Comité Directeur, sur 4500 adhérents tout de même.

    -A l’occasion des 40 ans de l’Amicale des Pieds Noirs, un déjeuner a été organisé dimanche dernier au restaurant l’Harissa (à Issy les Moulineaux) animé par Piere Meige, au cours duquel le maire a renis à son président Jean Claude Abecassis, la médaille d’or de la ville de la ville qu’il a dédié à l’ensemble des adhérents de son association 

    FIRST AVENUE : L’inauguration de la Résidence First Class (sur la photo) jeudi dernier, en face de la gare SNCF Transilien Vanves-Malakoff à l’angle des rues René Coche/Victor Basch. IL comprend 46 logements dans trois bâtiments dont une partie est géré par le bailleur social Immobilière 3 F. Au rez-de-chaussée, il devrait accueillir une micro-créche associative « Les bébés explorateurs». Mais il a fallu du temps à ce promoteur pour y arriver, et surtout décider plusieurs propriétaires de vendre ensemble et même temps temps leurs pavillons pour arriver à édifier ce nouvel ensemble qui «participe à l’embellissement de notre ville» selon le Maire Bernard Gauducheau présent à cette Inauguration

    HAUSSE DU PASS NAVIGO : C’est aujourd’hui que Ile de France Mobilités (IDFM)  qui gére les transports dans notre région doit prendre la décision d’augmenter le passe Navigo à 90 € ou plus par mois. Valérie Pécresse, sa présidente a bien tenté jusqu’à ces derniers jours tentée d’obtenir une aide financière de l’Etat  pour combler les 450 M€ qui lui permettront d'équilibrer le budget 2023, sans quoi elle menace de suspendre une série de paiements liés à de grands projets, à commencer par la préparation des Jeux Olympiques et le métro du Grand Paris.  Cela marché, puisqu’il ne passera qu’à 84,10 €, puisque l’Etat a abondé de 200 M€ le budget d’IDF «Les Franciliens ne sont pas un tiroir-caisse sur lesquels on peut pomper en augmentant indéfiniment le passe Navigo, et l'Etat non plus n'est pas un tiroir-caisse» lui avait répondu Gabriel Attal tout en atténuant ses propos: «C'est un dossier suivi à très haut niveau, par la Première Ministre, les ministres concernés. On va continuer à travailler avec elle (Mme Pécresse, NDLR) pour trouver des solutions, pour l'aider. Mais il faut qu'elle nous aide à l'aider, en regardant les autres possibilités» que la hausse du forfait mensuel Navigo pour boucler le budget 2023, contraint par l'inflation et la flambée des prix de l'énergie. Tout en rappelant au passage que les transports sont la compétence de la région et non de l'Etat. Il n’empêche qu’après ce bras de fer, une solution a été trouvée

     

  • UNE REUNION STOP GALERE DANS LES TRANSPORTS FRANCILIENS A COTE DE VANVES

    «Les usagers des transports d’IDF subissent des conditions de voyage particulièrement dégradées : temps d’attente exceptionnellement longs, ponctualité en baisse, rames bondées... Alors que le réseau de transport francilien, notamment grâce au tarif unique du passe Navigo, doit être un outil d’équité et de liberté, il est devenu un marqueur sensible des inégalités territoriales et déséquilibres sociaux de la région, pour celles et ceux les plus éloignés des centres économiques. La récente crise des carburants creuse ces inégalités de manière exponentielle. Les crises qui affectent nos concitoyens nécessitent des réponses en matière d’infrastructures de transports abordables, fiables et sécurisées» expliquent les communistes franciliens qui ont lancés le 20 Octobre 2022, une campagne d’information baptisée «Stop galére» pour rassembler autour de mots d’ordre d’intérêt général - gel les tarifs, mobilisation de nouveaux financements, rétablissement de 100% de l’offre de transport, arrêt la privatisation…- plus de 10 000 usagers qui ont signé une pétition. 

    24 Maires et 1 Président de territoire ont rejoint  la démarche pour peser sur l’amélioration et l’avenir des transports franciliens. Ils sollicitent, aux côtés des Conseillers régionaux à l’initiative de la mobilisation, un rendez-vous auprès de la Première Ministre pour faire entendre la voix des usagers et des élus franciliens Malakoff qui fait partie des communes mobillisés organise ce soir à 19H une réunion dédiée à la situation des transports franciliens (Salle des fêtes Jean-Jaurès, 11 avenue Jules-Ferry). Cette soirée permettra aux usagers de témoigner de leurs difficultés et d'analyser les causes de cette situation avec les associations d'usagers, des agents de la RATP et de la SNCF et des  élu sde la Région.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    ZFE (Suite) : SURSIS

    Alors que la MGP entendait bannir les véhicules Crit'Air 3 au printemps l'an prochain, et les diesel d'ici à 2024, le gouvernement a annoncé lors du comité ministériel sur les ZFE (Zones à Faibles émissions)  que les Crit'Air 3 ne seront interdits que d'ici à 2025. Alors qu’ils devaient renoncer à rouler dans la ZFE francilienne d'ici à la fin 2023, les franciliens et donc les vanvéens auront au moins un an de plus pour circuler. Le calendrier est désormais le suivant : dès le 1er janvier 2023, les véhicules Crit'Air 5 (véhicules diesel produits avant 2001) seront interdits. Au 1er janvier 2024, ce sera au tour des Crit'Air 4 (diesel avant 2006) puis des Crit'Air 3 (diesel avant 2011 et essence avant 2006) le 1er janvier 2025

    REVISION DU PLU

    Les écologistes pu organiser leur réunion publique jeudi dernier à l’école Marceau, sur la révision du PLU de Vanves qui maintenant change d’échelle en devenant intercommunal sur l’ensemble du territoire de GPSO. Il n’en reste pas moins qu’à l’échelle de la commune, les enjeux sont important pour les vanvéens qui constatent une  bétonisation de la Ville à marche forcée, avec l’apparition régulière de panneaux annonçant une opération immobilière comme rue Georges Clemenceau ses derniers jours, la disparition de pavillons remarquables comme cela devrait être le cas pour l’un d’entre d'eux, voisin de la chapelle protestante Saint Luc, la suppression d’arbres ou d’espaces verts du même coup, une circulation toujours plus intense et le manque de logements à des prix abordables…. «Toutes ces actions qui détériorent notre cadre de vie au profit des promoteurs c’est le PLU qui les permet. Cela n’est pas inéluctable. Au moment où les différentes crises impactent notre société de plein fouet, il faut que ces règles évoluent pour répondre aux enjeux de demain. C’est le PLUI en cours de préparation à GPSO qui les fixera» ont-ils soulignant en expliquant que le premier étage de la fusée (le PADD) sera adopté en fin d’année : «Les diagnostics du bureau d’étude n’ont pas été rendus publics. Les choix qu’ils entraînent ont été proposés aux maires mais même pas aux conseillers municipaux. La concertation en cours se limitera aux conseils de quartiers et à une réunion publique de la mairie le 8 novembre» ont-ils regretté. 

    PENURIE D’ESSENCE

    Les vanvéens commencent à être excédé. Pas une seule station service de la ville, mais aussi à proximité aux alentours n’a été réapprovisionné depuis que le mouvement de gréve aurait pris fin. Cela commence à peser pour certains vanvéens qui comptent sur leur véhicule pour pouvoir se déplacer et sont confinés chez eux comme au temps du Covid. D’autant plus q’e lorsqu'ils sont âgées, ils ne disposent plus d’une navette municipale, et que le dispositif Vanves Express leur semble bien compliqué et limité, pour faire leurs courses ou leurs démarches.

    Malheureusement  l'Île-de-France compte parmi les régions les plus touchées par cette pénurie qui persiste, en raison notamment de la grève qui continue dans la raffinerie de Gonfreville (Manche) approvisionnant principalement la Région Capitale. "la poursuite des blocages est 'inacceptable' pour Gabriel Attal après l'accord majoritaire signé chez Total Energies.  De surcroît , la situation est très tendue dans les Hauts-de-Seine (62% en manque de carburant), à Paris (50%) ou encore en Seine-Saint-Denis (42%). De surcroît, la densité de population par rapport au nombre de stations-service disponibles accentue le phénomène de pénurie.